Cliquez ici pour modifier. Alerte, SOS : Des migrations clandestines s’effectuent entre Ruchuru et les forets Beni via NYAKAKOMA !
Quand nos frères sont massacrés en territoire de Beni, il nous est demandé de ne pas parler, de ne pas crier, et de ne pas pleurer en nous taxant d’intoxications, de la xénophobie, d’incitation à la haine tribal, à la révolte….. !
Faut-il les laisser nous massacrer, et restez bouches cousues !
Alors que, les pauvres citoyens de Beni territoire quittent leurs villages en fuyant l’insécurité, eux aussi y pénètrent clandestinement.
L’une de nos sources les plus informées, rapporte ce qui suit :
« WATU WANATOKA RUTSHURU WANAPITA NYAKAKOMA NDANI YA ZIWA NA KUINGIA KWA MISITU YA BENI WANAJUA LAKINI HAWAPENDE SEMA KWELI » !
Et tout cela se passe sous les yeux des autorités qui ne veulent pas stopper cette migration.
Nous exigeons au gouvernement d’arrêter cette migration car ça risque de créer une situation qui sera difficile à gérer, pensent les personnes averties.
Nous n’allons pas nous taire devant cette légèreté avec laquelle le gouvernement s’intéresse aux massacres des YIRA en Beni-Lubero.
Rédaction V.M
Quand nos frères sont massacrés en territoire de Beni, il nous est demandé de ne pas parler, de ne pas crier, et de ne pas pleurer en nous taxant d’intoxications, de la xénophobie, d’incitation à la haine tribal, à la révolte….. !
Faut-il les laisser nous massacrer, et restez bouches cousues !
Alors que, les pauvres citoyens de Beni territoire quittent leurs villages en fuyant l’insécurité, eux aussi y pénètrent clandestinement.
L’une de nos sources les plus informées, rapporte ce qui suit :
« WATU WANATOKA RUTSHURU WANAPITA NYAKAKOMA NDANI YA ZIWA NA KUINGIA KWA MISITU YA BENI WANAJUA LAKINI HAWAPENDE SEMA KWELI » !
Et tout cela se passe sous les yeux des autorités qui ne veulent pas stopper cette migration.
Nous exigeons au gouvernement d’arrêter cette migration car ça risque de créer une situation qui sera difficile à gérer, pensent les personnes averties.
Nous n’allons pas nous taire devant cette légèreté avec laquelle le gouvernement s’intéresse aux massacres des YIRA en Beni-Lubero.
Rédaction V.M