Les territoires de Beni-Lubero, que d’aucun ne tarde à qualifier du pays NANDE, seraient encore absent dans les instances décisionnelles au niveau national, pensent plusieurs observateurs informés et avertis.
En effet, il revient de rappeler que, la gestion des affaires publiques de la RDC apparaît comme l’apanage de certaines personnes, et que d’autres semblent être considérées comme accompagnateurs dans la gestion de notre cher beau pays.
Si certains soulignent le retard dans la scolarisation des enfants de Beni Lubero, d’autres pensent plutôt que les fils de Beni-Lubero traînent encore leurs pas pour se frayer une entrée dans la gestion de la chose publique, en se concentrant plus dans le « commerce » Vrai ou faux ?
On se souviendra que, la première grande université a vu le jour vers les années 1989 en ville de Butembo, l’université catholique du graben, qui a été un élément déclencheur de la prolifération des université, bien sur après ce qu’on appelle aujourd’hui UNC/ Université de CEPROMAD, ex ISGA. C’est l à qu’on vu : ISTM, ISP, ISPT, ULPGL, UOR,…. Venir comme des champignons, ainsi, pour le moment cette hypothèse d’avoir moins des diplomés d’universités comme cause d’absence dans les instances décisionnelles, n’a plus une grande considération, car à nos jours les universités de Beni-Lubero produisent en elle seules une moyenne de 2000 (deux milles) diplômes ( de grade et de licence confondues), sans prendre en considérations d’autres ressortissants de Beni-Lubero qui ont des diplômes en dehors de Beni-Lubero, dans les universités d’autres provinces.
Les diplômés d’universités BeniLuberois sont assez nombreux pour se frayer un espace dans les instances décisionnels, si telle était la condition, on se serait déjà frayer un espace considération. Mais rien n’a été fait dans ce sens.
En effet, les observateurs, constatent avec amertume que, les quelques individus de Beni-Lubero qui sont dans les instances décisionnelles, se combattent entre eux, « l’unité dans la diversité » est loin d’être de mise et continue à amenuiser les chances aux fils de Beni-lubero de participer à la gestion de la chose publique,
Dans l’armé comme dans la Police ; dans la justice, l’administration publique, les postes de commande sont pour les autres, et les fils de Beni-lubero viennent toujours à la queue alors que ce ne sont pas les compétences qui manquent ? A qui la faute ??
Dossier à suivre
Rédaction de la V.M