Des sources dignes de foi, une véritable chasse à l’homme contre les membres de la véranda MUTSANGA a été planifiée et déclenchée depuis la soirée le mercredi 05/11/2014 par certaines autorités bien connues de la ville de Butembo à l’occasion d’une réunion secrète, rapporte ces mêmes sources.
Tout remonte d’une altercation entre les membres de la véranda MUTSANGA avec plus 30 policiers conduits par l’inspecteur Urbain de la police ville de Butembo qui étaient débarqués uniquement pour venir arracher une croix implantée au siège de la véranda MUTSANGA, chose que les verandistes n’avaient pas cautionné . La résistance des verandistes a ainsi conduit à la démolition du siège de la véranda, chose qui a déclenché des échauffourées entre la police nationale congolaise et les membres de cette structure d’auto défense fonctionnant sous forme d’un groupe de pression. A cette occasion 6 habitants de MUTSANGA, qui n’ont même pas à faire avec la véranda MUTSANGA ont été arrêtés à leur lieu de travail, et deux policiers blessés, la femme d’un policier a été molestée par des manifestants en colère quand elle voulait s’interposer entre les manifestants et un policier tombé dans leur griffes.
On se souviendra que, depuis que les massacres à coups de machettes et haches des pauvres citoyens ont débuté en ville et territoire de Beni, les jeunes de la véranda MUTSANGA ont mis sur pied des stratégies d’autodéfense populaire face à des d’éventuels incursions de ces « génocidaires » étant donné que la ville et territoire de Beni sont des voisins à la ville économique de Butembo ; en plus, la ville de Butembo fait frontière avec le territoire de Beni. Parmi ces stratégies on peut cité l’implantation des croix dans des carrefours, passer la nuit à la belle étoile, organiser des patrouilles nocturnes, passer au fouille des véhicules aux heures tardives, bref une façon aux habitants de se prendre en charge. Plusieurs autres jeunes de Butembo, s’étaient directement empruntés ces stratégies avant qu’elles ne se généralisent sur toute la ville de Butembo.
Ainsi, après la découverte des tractes menaçant la ville de Butembo d’une incursion de ces « égorgeurs » ; ces stratégies ont pris d’ampleur, au point que tout habitant se sentait maintenant concerné.
Les autorités, impuissantes devant ces massacres de civils, voyant que les habitants repliaient au fur et à mesure sur eux-mêmes, faisant plus confiance à cette initiative qu’à elles, ces dernières ont ainsi décidé d’interdire toutes ces stratégies précitées. Et pour y parvenir, il a fallu commencer par anéantir les initiateurs, qui sont « les jeunes de la véranda MUTSANGA ».
Enfin, suite aux altercations lors de l’interdiction forcée aux jeunes de ne plus s’impliquer dans l’autodéfense face aux menaces qui pèsent toujours sur la ville , deux policiers avaient été blessés, et une femme d’un policier . Cette interdiction n’ayant pas été motivé moins encore n’ayant pas convaincu les jeunes combattants de la liberté et du changement de la véranda MUTSANGA, les voix se sont levée pour crier à la complicité des autorités dans les probables massacres qui risquent de surprendre les habitants de Butembo, étant donné que, d’ailleurs, ces autorités ne semblent rien faire pour arrêter ces massacres en ville et territoire de Beni.
Voila autant des faits, qui font que, des menaces d’arrestation pèsent sur certains membres influents de la véranda MUTSANGA dont Tembos Yotama, Jonotha VISHIKA, Steven KAVALAMI, INGACIO USHINDI, ELVIS MASTAKI….., la véranda MUTSANGA pensent plutôt que, c’est sont les autorités policières qui seraient poursuivis pour avoir interdits les habitants à se prendre en charge sans pour autant prévenir ce que seraient les conséquences de leurs décisions.
La véranda MUTSANGA demande aux autorités de ne plus continuer à se tromper de la cible qui est notre ennemi commun, ces « égorgeurs »; et prend en témoin l’opinion locale, nationale et internationale de tout ce qui pourra arriver aux combattants de la liberté, étant donné que, pour mieux réaliser son plan machiavélique, on commence souvent à anéantir les vrais et véritables résistants contre ce plan.
Selon les dernières informations, des policiers déguisés en civil feraient des rondes à MUTSANGA et environs à la recherche de toutes les personnes influentes de la véranda MUTSANGA.
Dossier à suivre
E.M KALUBI.
Tout remonte d’une altercation entre les membres de la véranda MUTSANGA avec plus 30 policiers conduits par l’inspecteur Urbain de la police ville de Butembo qui étaient débarqués uniquement pour venir arracher une croix implantée au siège de la véranda MUTSANGA, chose que les verandistes n’avaient pas cautionné . La résistance des verandistes a ainsi conduit à la démolition du siège de la véranda, chose qui a déclenché des échauffourées entre la police nationale congolaise et les membres de cette structure d’auto défense fonctionnant sous forme d’un groupe de pression. A cette occasion 6 habitants de MUTSANGA, qui n’ont même pas à faire avec la véranda MUTSANGA ont été arrêtés à leur lieu de travail, et deux policiers blessés, la femme d’un policier a été molestée par des manifestants en colère quand elle voulait s’interposer entre les manifestants et un policier tombé dans leur griffes.
On se souviendra que, depuis que les massacres à coups de machettes et haches des pauvres citoyens ont débuté en ville et territoire de Beni, les jeunes de la véranda MUTSANGA ont mis sur pied des stratégies d’autodéfense populaire face à des d’éventuels incursions de ces « génocidaires » étant donné que la ville et territoire de Beni sont des voisins à la ville économique de Butembo ; en plus, la ville de Butembo fait frontière avec le territoire de Beni. Parmi ces stratégies on peut cité l’implantation des croix dans des carrefours, passer la nuit à la belle étoile, organiser des patrouilles nocturnes, passer au fouille des véhicules aux heures tardives, bref une façon aux habitants de se prendre en charge. Plusieurs autres jeunes de Butembo, s’étaient directement empruntés ces stratégies avant qu’elles ne se généralisent sur toute la ville de Butembo.
Ainsi, après la découverte des tractes menaçant la ville de Butembo d’une incursion de ces « égorgeurs » ; ces stratégies ont pris d’ampleur, au point que tout habitant se sentait maintenant concerné.
Les autorités, impuissantes devant ces massacres de civils, voyant que les habitants repliaient au fur et à mesure sur eux-mêmes, faisant plus confiance à cette initiative qu’à elles, ces dernières ont ainsi décidé d’interdire toutes ces stratégies précitées. Et pour y parvenir, il a fallu commencer par anéantir les initiateurs, qui sont « les jeunes de la véranda MUTSANGA ».
Enfin, suite aux altercations lors de l’interdiction forcée aux jeunes de ne plus s’impliquer dans l’autodéfense face aux menaces qui pèsent toujours sur la ville , deux policiers avaient été blessés, et une femme d’un policier . Cette interdiction n’ayant pas été motivé moins encore n’ayant pas convaincu les jeunes combattants de la liberté et du changement de la véranda MUTSANGA, les voix se sont levée pour crier à la complicité des autorités dans les probables massacres qui risquent de surprendre les habitants de Butembo, étant donné que, d’ailleurs, ces autorités ne semblent rien faire pour arrêter ces massacres en ville et territoire de Beni.
Voila autant des faits, qui font que, des menaces d’arrestation pèsent sur certains membres influents de la véranda MUTSANGA dont Tembos Yotama, Jonotha VISHIKA, Steven KAVALAMI, INGACIO USHINDI, ELVIS MASTAKI….., la véranda MUTSANGA pensent plutôt que, c’est sont les autorités policières qui seraient poursuivis pour avoir interdits les habitants à se prendre en charge sans pour autant prévenir ce que seraient les conséquences de leurs décisions.
La véranda MUTSANGA demande aux autorités de ne plus continuer à se tromper de la cible qui est notre ennemi commun, ces « égorgeurs »; et prend en témoin l’opinion locale, nationale et internationale de tout ce qui pourra arriver aux combattants de la liberté, étant donné que, pour mieux réaliser son plan machiavélique, on commence souvent à anéantir les vrais et véritables résistants contre ce plan.
Selon les dernières informations, des policiers déguisés en civil feraient des rondes à MUTSANGA et environs à la recherche de toutes les personnes influentes de la véranda MUTSANGA.
Dossier à suivre
E.M KALUBI.