Le génocide des NANDES qui se poursuit en Beni ville et territoire, serait un problème national, mais curieusement tout se passe comme si rien n’était sous une barbe impuissante même de nos élus qui ne se limitent qu’à dénoncer au même niveau que des simples habitants, grave même, le gouvernement et la MONUSCO ne se limitent qu’à dénoncer et condamner.
Environs 1500 personnes dont : 900 personnes kidnappés ( y compris nos trois pretres et le médecin MUKONGOMA) qui restent sans suite, 250 réfugiés victimes du naufrage de KAMANGO en retour de l’Ouganda, 95 réfugiés victimes de l’accident de FOSFOT en Ouganda qui retournaient à KAMANGO ( des personnes averties qualifiant ce naufrage et accident d’attentat contre ces nandes de KAMANGO) ; les plus de 300 personnes égorgées en coup des machettes, seraient suffisants pour que cette question puisse mérité l’attention particulière des gouvernants , et plus particulièrement des élus de la nation, qui ont dans leur noble mission de défendre la cause de leur électeurs.
Les électeurs sont massacrés, mais ces élus nationaux ne se content que de leurs émoluments, des grosses sommes d’argent sur le sang des victimes. S’ils sont payés à la fin de chaque mois, c’est parce qu’ils doivent défendre leurs électeurs qui les avaient envoyés à l’assemblé nationale, mais bien que l’exterminée leurs électeurs se poursuit, ces députés ne font rien pour stopper ces massacres ; faudrait-il dire qu’ils perçoivent ces émoluments sur le sang des innocents ?
L’opinion pense que, ces élus nationaux, et particulièrement ceux de la province du Nord Kivu et Sud Kivu, feraient œuvre de justice de claquer les portes de l’assemblé pour forcer le gouvernement à vite agir afin de mettre fin à ce génocide qui se poursuivit comme à la roulette. Les députés ont dans leur mission, bien sur légiférer les lois, mais aussi et surtout mettre une pression au gouvernement pour le pousser à agir, dans ce cas de génocide du peuple NANDE, il est on ne peut plus urgent pour que ces élus fassent quelque chose pour faire stopper ces massacres.
Dans un autre angle, ces élus doivent faire un lobbying de grande taille pour pousser la communauté internationale, la CPI à vite agir, pour que ce génocide arrête ! Sinon, chers compatriotes, 1500 personnes assassinés c’est suffisant pour que cette situation arrête !
La coordination de la Véranda MUTSANGA pense que, dans le cas contraire, lorsque la population se prendra en charge au vrai sens du terme, personne parmi ceux qui sont sensés protéger et défendre ces habitants en détresse et qui curieusement qui les abandonnent entre les mains des égorgeurs, ne saura résister à ce TSOUNAMI qui pointe à l’horizon.
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